Pour réussir un rachat de prêt, vous n’avez que deux choses à faire :
- répondre sincèrement aux questions qui vous sont posées.
- fournir les documents qui vous sont demandés.
VOUS N’AVEZ PAS A VOUS DEPLACER( sauf, bien-sûr, si vous désirez vous rendre dans nos bureaux):
TOUT SE PASSE PAR TELEPHONE, E-MAIL ET PAR COURRIER.
Vous êtes en relation permanente avec l’analyste qui vous est dédié jusqu’à la fin des opérations
L’instruction d’une opération de regroupement de credits comporte les étapes suivantes :
- DIAGNOSTIC DE VOTRE SITUATION
- ELABORATION D’UNE SOLUTION PERTINENTE
- MONTAGE DU DOSSIER
- SUIVI DU DOSSIER
- ENVOI DE L’OFFRE DE PRET
- MISE EN PLACE DU RACHAT DE CREDITS
La société de rachat de crédit vous assure une prise en charge totale de A à Z de toutes les formalités de votre demande de refinancement et de toutes les démarches bancaires par un seul interlocuteur.
Vous restez toujours maître de votre décision éclairée.
>UN CONSEIL : MULTIPLIER LES DEMANDES AUPRES DE NOMBREUX INTERMEDIAIRES EST SOUVENT CONTRAIRE AU BUT RECHERCHE… selon certains !
En effet, on compte les banques spécialisées dans le rachat de prêt sur les doigts des deux mains, alors qu’il existe plusieurs centaines d’intermédiaires en opérations de banque en France. Ces derniers travaillent donc avec tout ou partie de la dizaine d’établissements de crédit spécialisés dans la restructuration, qu’il s’agisse de rachat de prêt immobilier, hypothécaire ou non, ou de rachat de crédit consommation, chez qui aboutiront nécessairement leurs demandes. Pour d’évidentes raisons déontologiques, ils appliquent la règle du premier arrivé, premier servi ! La qualité de l’intermédiaire est donc déterminante : les petits défauts font les grands échecs ! Car un dossier mal monté, mal présenté ou mal défendu ne peut être représenté avant plusieurs mois.
SOYEZ VIGILENT SUR LA QUALITE DE L’INTERMEDIAIRE.
Indépendamment de la compétence et de la qualité concrète de service, il faut s’assurer de son statut légal.
Le rapport du Conseil national de la Consommation relatif à la publicité sur le crédit à la consommation et aux crédits renouvelables, publié dans le Bulletin officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N° 13 du 5 décembre 2000 met en garde :
“ la profession d’intermédiaire en opérations de banque est légale. Depuis quelques années se développent des officines se livrant à des pratiques douteuses, voire illégales, en matière de propositions de prêts, et notamment de rachat de crédits, dans des conditions telles qu’il est parfois difficile de les distinguer de la pratique de gestion de dettes, activité interdite, sauf à certaines professions judiciaires réglementées. Ces officines, au statut parfois plus obscur que leurs pratiques, ne doivent pas être confondues avec les intermédiaires en opérations de banque, profession réglementée dont l’utilité n’est plus à démontrer. “
“ ( … ) Il s’en suit, non seulement, une distorsion de concurrence préjudiciable aux IOB exerçant leur métier dans le respect des lois, mais surtout un préjudice énorme pour les consommateurs souvent trompés par des offres dont le caractère fallacieux est hélas trop souvent le prélude à une escroquerie. “( … )
NE CONFONDEZ PAS :
- taux de base avec TEG : le taux de base constitue le loyer de l’argent qui vous est prêté perçu par la banque. Le TEG est constitué de ce taux de base auquel s’ajoute tous les frais liés au prêt : frais bancaires d’étude et de dossier, assurance lorsqu’elle est exigée, frais d’intermédiation …
- le taux de base le plus compétitif pratiqué un partenaire financier de l’intermédiaire à un moment donné et selon des critères très stricts que ce dernier vous annonce à titre d’information préliminaire non contractuelle et celui qui sera effectivement applicable à votre cas après étude exhaustive de votre dossier et que vous aurez, bien entendu, le droit d’accepter ou de refuser. Le taux à retenir est toujours celui stipulé dans l’offre préalable de crédit établie par la banque.
- Le « taux d’appel « d’un prêt à taux variable, pratiquée sur une courte période pouvant aller, selon les banques, de quelques mois jusqu’à trois ans, avec celui qui s’appliquera, en fait, pendant la plus longue partie de son amortissement et qui est généralement composé d’un indice de référence ( comme l’Euribor par exemple ) variable et d’une marge fixe perçue par la banque. Certaines banques assortissent même leurs prêts à taux variable d’un taux fixe pendant les premiers mois, voire la première année.